Retour à Aurignac, pour un circuit des 3 tours bien rude
Occupés par l’organisation de notre randonnée, nous n’avions pas pu participer aux 3 tours d’Aurignac. Ce dimanche, nous avons donc rattrapé le temps. On charge la trace de la version 2013, les vélos sur la voiture, et Steph, Lolo et Yoyo partent dimanche matin vers Aurignac.
Evènements majeurs tout d’abord, les nouvelles montures de Lolo et Steph, respectivement en Camber Carbone 29′ et Santa Cruz Carbone 26′. De vraies bombes par rapport à mon Stump qui couine de partout.
Nous partons donc avec un temps correct sans plus, ni chaud ni froid. Première partie du parcours vers le nord, côté Boussan, et déjà les côtes et descentes courtes mais très cassantes s’enchainent. Les montées sont très raides et le sol soit herbeux soit pierreux est piégeux. Les descentes apportent le ludique nécessaire mais pas de temps de récupération. Nous entamons alors les trois montées du côté Est, Cap de Bosc Mont Grand et autre col à 500m. Les vélos sont à l’aise les jambes moins, mais la balade est très belle, dans les forêts en majorité, souvent broussailleuses, parfois encore boueuses avec de courtes traversées de flaques, puis nous partons vers le Sud pour retrouver un peu de pierre, mais toujours pas de plat.
Steph en chie avec son velo dont le développement est décidément trop élevé, va falloir changer les plateaux pour pouvoir passer partout.
Lolo ouvre la marche avec aisance, franchit tout, prend confiance.. peut-être trop car lors de la descente suivante, lancé à toute vitesse, il ne voit que trop tard une profonde rigole d’évacuation des eaux, perpendiculaire au chemin et s’envole dans les airs, le vélo d’un côté, le bonhomme de l’autre, s’abimant côtes et épaule.
Nous finissons alors le parcours par la route (malgré un bras en moins, suivre Lolo reste une gageure), pour terminer avec la bière triste de baptème du nouveau vélo.
Au final, 37 km pour 1120m de D+, une belle rando pour se faire les jambes, dommage que le final ait été si mouvementé.
Bonne récup Lolo, j’espère que ce n’est rien de grave.