Une Bouconnade qui pique !

Traditionnellement le lendemain du Forum des associations nous avions proposé une sortie découverte ce dimanche matin et traditionnellement, il y a du monde à 9h au stade. 14 nous sommes. Sauf que sur les 14 seuls 2 nouveaux ont répondu à l’appel, Maxime et Franz. Bravo  à eux.

Après la pluie de la veille et de la nuit, nous craignons la terre amoureuse, comme on dit dans le Gers, et nous nous décidons pour une petite Bouconnade. Ca tombe bien car Maxime a oublié son casque et un détour par chez Castor s’impose. Nous empruntons donc la trace 13km des Cotes Gasconnes pour rejoindre Lias. Mais dans la montée vers Lias, Guillaume se bat avec son dérailleur qui ne veut pas passer le petit développement et la : CRACK, dérailleur arraché. Ce n’est pas la pâte mais la vis qui tient la pâte du dérailleur qui a cédée. Décidemment, la pose chez Castor va être bienvenue. Avant d’y parvenir, un petit intermède chasse nous permet d’admirer la dextérité d’un chasseur qui abat presque à bout portant un pauvre faisan sous nos yeux. Arrivé chez lui, Castor sort la boîte à outils et on doit aussi en profiter pour réparer  la chambre crevées du pneu de Maxime. Une fois tous les vélos remis sur pieds nous repartons vers Bouconne direction le traditionnel canyon. Après avoir pris congé de Lionel qui a une contrainte horaire et de Maxime qui en profite car il a son compte, même s’il a apprécié, nous enchainons par le single le long du petit Lac avant de repartir vers la sud en longeant la lisière sud-est de la Forêt. Et c’est là que le drame est arrivé : nous menions bon train dans cette partie roulante, Guillaume en tête quand nous avons percuté un nuage de Frelons. Les chances ont été diverses. Certains n’ont rien eu, la plupart ont été piqué à plusieurs reprise, mais Fred et Pierre-Henri sont sortis de la zone à frelons en courant ! Il faut dire que voulant s’échapper des bestioles, ils se sont emmêlés les guidons et ont violemment chutés l’un sur l’autre. Ils ont dû fuir les bestioles en prenant leurs jambes à leur cou. Il a aussi fallu aller rechercher les vélos ainsi que les lunettes de Fred tombées au passage dans la zone infectée. Tonton Castor a pu rapatrier tout le matos sans piqures. Le retour sur Fontenilles se fait à vitesse plus réduite histoire de ne pas aggraver les piqures. Bravo à Franz et Maxime de nous avoir suivi lors de cette sortie pour le moins atypique.

Je rédige ces lignes et ça me gratte…